Nelly. Tu
es si loin. Inatteignable. Je n’ai jamais pu mettre en gestes ce qu’il y a dans
mon cœur. Jamais tu ne m’as laissé t’approcher, recluse dans ton monde. Je
crois que tu as peur de cette passion qui pourrait prendre feu entre nous. Ou
peut-être n’est-ce que moi qui y croit. Mais au fond de mon cœur j’ai crois.
Nous sommes tous deux des être de feu, normal que tout ne soit pas toujours
rose comme dans les films. Mais il y a une chose que je peux t’assurer, Nelly…
cet amour, cette passion qui brûle en moi, très rarement l’ais-je ressenti
aussi fort… Toi, tu es une femme qui pour moi est d’une irrésistible beauté. Il
y a en toi une telle chaleur. Comment ne pas rêver de toi?
On dira que
je suis fou. C’est peut-être vrai. Mais je crois l’avoir vu ton cœur et il y
brûle une flamme que bien peu peuvent maitriser. Il faut un autre être de feu
pour manipuler cette chaleur, jongler avec et la transformer en pur désir.
Ce désir
pour toi je l’ai. Je ne te l’ai jamais dit. Mais, maintenant que tu es si loin,
je ne peux plus me taire. NON… je ne veux pas te ramener à moi. Si la vie le
veut, nos routes vont se croiser de nouveau. Mais au moins une fois, je voulais
transformer en mots ce qui flambe dans mon cœur. Ce qui me fait parfois mal
tellement c’est intense. Change mon visage pour un autre si tu le souhaite.
Saches seulement que ce feu qui brûle en moi, il brûle pour une femme comme
toi. Et il y en a peu. Très peu. En fait, il n’y en a peut-être qu’une… TOI.
Nelly même
si c’était dans un autre temps, dans un autre contexte, je n’oublierai jamais
la chaleur de ton corps contre le mien.
Ce soir,
alors que nous sommes tellement éloigné, je pense malgré tout à toi et mon cœur
s’emballe.
J’aimerais
tant, Nelly pouvoir te prendre contre moi. T’embrasser passionnément, gouter
tes lèvres Te dire je t’aime avec mes mains. Caresser ta joue chaude, glisser
mes mains dans tes cheveux et ressentir leur douceur de leur racines à leurs
extrémités. J’aimerais sentir le souffle chaud de ton halène dans ma main alors
que j’explore ton visage, que glisse lentement vers ton cou.
J’ai envie
Nelly, que nous puissions nous retrouver tous les deux, en intimité, de m’approcher
de toi, et déposer un baiser contre ton front, descendre sur ta joue et inviter
tes lèvres à me rejoindre. Doucement, je les mordillerais et les caresserait
avec ma langue, en attendant la tienne.
J’ai envie
Nelly, de partir à la recherche de ton cou. De le mordre tel un vampire. De t’entendre
pousser un léger gémissement pour m’arrêter. Et moi, d’écouter, de retrouver
tes lèvres et les déguster comme on goûte une prune fraiche et sucrée. Mes
mains alors seraient à la découverte de ton corps. Chaque centimètre une
merveille de douceur. J’aimerais défaire chaque bouton de ta blouse, chaque
fois faisant monter la température entre nous. Je vénérerais chaque millimètre
de peau ainsi découverte, du bout de mes doigts d’abord, puis à pleine main. J’aimerais
Nelly, te retirer délicatement ton soutien gorge, et écoutant ton souffle chaud
dans mon oreille, sentir tes dents en mordre le lobe passionnément. Tes seins à
découvert, je les embrasserais passionnément et doucement à la fois, valsant au
rythme de ta voix… de ton souffle brulant.
Nelly, ne
doute jamais de ma passion pour toi.
Nelly, j’aimerais
défaire ta ceinture aussi passionnément que toutes mes caresses. Accrochant au
passage ton sous vêtement, l’oubliant volontairement pour y revenir plus tard. Je
voudrais m’enivrer de la douceur de tes cuisses en y déposant mes joues,
distribuant ça et là un délicat baiser. J’y remonterais lentement, en retirant
ta dernière pièce de vêtement.
Le feu monterais
en nous, passionnément. Ma langue découvrant ta peau douce en remontant le long
de tes cuisses et arrivant finalement à ton sexe. Là ma bouche n’aurait pour but
que de gouter tes lèvres déjà mouillées. Je m’emparerais ensuite de ton
clitoris jusqu’à t’entendre t’effondrer de désir, de plaisir.
Ma bouche
continuerait son exploration de ton corps, en remontant doucement. Grignotant
ton nombril, glissant entre tes seins, s’attardant sur chaque galbe, chaque
mamelon pour t’entendre soupirer de désir.
Je
remonterais retrouver ta bouche que j’embrasserais passionnément alors que
lentement, je m’enfoncerais en toi avec toute la passion qui dors en moi depuis
des années. J’ai envie de ressentir tes cuisses se refermer sur moi pour m’empêcher
de partir. J’ai envie de ressentir te ongles s’enfoncer dans mon dos alors qu’ensemble,
on vit ce moment de pure passion, de désir mutuel. Jusqu’à l’extase.
Je voudrais
tant, Nelly, que l’on se retrouve ensuite, collés l’un à l’autre alors que
doucement le sommeil nous gagne et que nos rêves se visitent peut-être.
Impénétrable au froid du monde extérieur parce qu’ensemble.
Mais tout ça n’est peut-être que le rêve d’un fou. Peut-être ne nous reverrons-nous jamais… Même si tout au fond de mon cœur, j’y crois en cette passion. MOI… je crois en toi. Je crois en nous. Mais cet amour n’est plus entre mes mains. Je te surveillerai de loin, sans te déranger. Je rêverai toujours de toi. Mais seulement toi peux rebâtir les ponts. Rebâtir la confiance que tu as détruit. Je t’aime Nelly… mais avec toi j'ai l'impression d'être un bouche-trou. je ne suis pas un bouche trou. Je suis cet homme qui t’aime plus qu’il ne peut le décrire. Mais je ne peux pas accepter la façon que tu as eu de traiter notre relation (masque, indifférence, médecin... etc.)